Un air d’été à Strasbourg

Première étape de la soirée : une petite halte place d’Austerlitz pour assister au concert porte ouverte du Molly Malone’s et profiter du beau temps, une place aux airs d’été avec toute son animation et ses sourires.

Ensuite, une fois que l’amoureux m’avait rejointe nous nous sommes dirigés vers notre soirée découverte.

Les Fils à Maman et ses nouveautés

Toujours fidèle à son ambiance 80 et pour notre plus grand plaisir, le restaurant n’a pas bougé d’un pouce ; livres, BD, jeux et affiches des années 80 de quoi nous redonner un petit sentiment de nostalgie en pénétrant les lieux.

Premiers arrivés (pour une fois), nous avons pu rencontrer Mathieu, le nouveau directeur, très accueillant. Et qui dit « nouveau directeur » dit aussi nouvelle carte. Ou en tout cas, quelques petites nouveautés dans le restaurant…

En réalité, seuls quelques plats se sont ajoutés notamment les ravioles à la crème d’épinards et comté, très bonnes d’ailleurs ! Pour le reste, lors de leur soirée découverte pour leur ouverture, nous avions déjà goûté aux gambas, munster et babybel frits ; aux burgers ; au gratin de coquillettes… Ceci dit, y re-goûter était plaisant !

Ce qu’on a aimé

L’ambiance, toujours et le côté très « comme à la maison » du restaurant.

Ce qu’on a moins aimé

La coriandre dans le tartare de thon et avocat, aromate quitte ou double on aime ou on n’aime pas et nous on n’aime pas.

Ce qu’on aimerait voir de plus

Une VRAIE nouvelle carte, avec plus de changements. Et que SURTOUT le tiramisù Kinder reste sur la carte =) Et on a hâte de découvrir la carte d’été qui sera bientôt dévoilée !

En bref, la carte hiver n’apporte pas énormément de nouveautés. La cuisine est bonne et pour passer une soirée entre potes c’est un super restaurant ! Donc allez y sans vous poser de question.

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Soirée dégustation d’échantillons de la carte. Petit burger et frites maison.

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La praline, une base pour nos papilles

Les pralines de Mélanie – Strasbourg rencontre Lyon dans une histoire rose

Des produits originaux et mêlant les traditions

Les pralines de Mélanie – Strasbourg rencontre Lyon dans une histoire rose

Les pralines de Mélanie – Toutes les déclinaisons de pralines proposées

Ce qu’on aime :

Ce qu’on aimerait voir de plus :

Les pralines de Mélanie – La tarte aux pralines, le coup de coeur de l’amoureux

Vous voulez essayer ?

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Un concept de protection innovant

L’amoureux m’a donc proposé il y a un peu moins d’un an de tester des lunettes anti lumière bleue.
Je ne connaissais pas du tout le concept… En bref, ce sont des lunettes dont les verres bloquent 100% des UV et près de 40% des rayons nocifs (380-450mm) du spectre de la lumière bleue.

Je trouvais l’idée intéressante et me suis donc lancée. Après tout si je peux me faire du bien, autant essayer. Je commande donc mes lunettes Chesnut, chez Blueberry (il y avait des offres à cette époque) et les reçois seulement une semaine après.

Dur dur de convaincre l’amoureuse…

Au départ je n’étais pas trop convaincue, et puis j’avais quelques réticences aussi. Mais finalement, personne ne s’est aperçu que j’avais des lunettes. Ou plutôt, mes collègues m’ont demandé si j’avais changé de lunettes… Je n’en portais pas, donc ce test-là est passé tout seul.

Ensuite, il m’a fallu quelques jours d’adaptation pour ne plus les sentir sur l’arête du nez et penser à les porter. Je les portais au travail et parfois au cinéma.
Et petit à petit, je me suis rendue compte que j’étais moins irritable en rentrant le soir, je lisais à nouveau plus, j’écrivais même…

Depuis que je les mets sur mon nez quand je travail ou quand je suis déjà un peu fatiguée devant la télé à la maison et hop je n’ai plus cette sensation de mal de crâne au bout de 2 heures non-stop, je suis moins fatiguée et mes yeux ne sont plus aussi rouges. C’est clairement un confort pour moi.

Le plus

Elle sont légères et les modèles sont modernes, de quoi plaire à tout le monde. De plus depuis que j’ai décidé de les porter, la protection « anti lumière bleue » c’est démocratisé même chez les opticiens, donc ce n’est plus un truc de geek mais bien un confort grand public.

Le moins

A l’époque, la boîte n’était pas pratique pour les transporter n’importe où. Je m’en suis donc fabriquée une. Aujourd’hui je ne sais pas ce que ça donne niveau boîte, j’espère qu’ils se sont améliorés.

Résultat final

Un test satisfaisant pour moi. Je ne porte pas de lunettes habituellement, je n’en ai pas besoin, mais celles-ci sont toujours dans mon sac à main à portée.
Fini les maux de tête et la fatigue à cause de l’ordinateur ou la télé.

Donc messieurs, mesdames, que vous passiez des heures ou non devant la télé, ou devant un écran en général, je ne peux que vous inviter à tester, pour 35/40euros, au pire ça sera pour le style !

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C’est quoi un Escape Game ?

Phénomène venu tout droit du Japon, l’Escape Game a vu un essor rapide en France, la première salle ouvre en 2013, aujourd’hui la France en compte environ 400.

Le principe : vous êtes enfermés dans une pièce mise en scène, par équipe de 2 à 6 personnes et ensuite, c’est vous le héros de l’histoire, l’objectif c’est d’arriver ensemble à résoudre une floppée d’énigmes pour comprendre comment sortir de cette pièce en un temps donné généralement entre 30 et 60 minutes. Autant vous dire, qu’il faut bien choisir ces copains.
Chacune des Escape Room possède son propre univers auquel les participants peuvent s’identifier.

Dooz c’est quoi c’est qui ?

L’idée de l’Escape game sort de la tête de Fred’, Expert-Comptable de métier, il a décidé, après dix années dans le métier, de se lancer dans l’aventure. Il s’est aperçu depuis quelques temps que son métier ne lui correspondait plus vraiment et qu’il avait envie de voyager les gens. Passionné de Jules Verne, il a décidé de faire voyager dans le temps les visiteurs de son horlogerie, en créant sans le savoir, une des plus grande escape room de France. Il a pendant longtemps était maître de jeu pour des jeux de rôle, et un jour il a décidé de faire du jeu, son métier en créant son Escape Game. Et honnêtement, il a bien fait de changer de métier, car celui-là lui va comme un gant.

Notre test

Comme nous l’avons évoqué plus haut, l’amoureux n’avait jamais mis les pieds dans un Escape Game, d’un naturel craintif et stressé, autant vous dire que c’était pas gagné gagné de s’amuser dans ce genre de sortie entre amis. Après tout qu’importe, on teste, et puis ça m’aurait encore plus stressé de laisser l’amoureuse voyager dans le temps sans moi !

Au final, après 60minutes enfermés dans cette Escape Game, j’en ressors content, déjà car nous avons réussi à sortir de la pièce et que nous sommes les premiers blogueurs strasbourgeois à sortir avant la fin du temps réglementaire, donc concrètement, on est les seuls à avoir sauvé le monde (nananer!).

S’il fallait retenir une chose, c’est que ce genre d’activité propose des nouvelles sensations, ce n’est ni une HorrorNight d’Europa Park, ni une maison hantée, mais un environnement stressant, stimulant pour le cerveau car il faut résoudre beaucoup d’énigmes, et hyper cool pour une cohésion de groupes, ou même de couples, car il faut beaucoup communiquer pour avancer dans la pièce.

L’accompagnement du personnel de l’horlogerie est irréprochable, avant et après le passage dans l’Escape Room. L’agent Do nous a fait découvrir le concept, la room mais également son espace détente pour jouer ou boire un verre à la sortie et croyez moi, ca vaut le détour.

Les plus, les moins, d’un Escape game.

• les plus : c’est très immersif et stimulant pour chacun, l’équipe s’adapte et vous accompagne pour que tout ce passe en sécurité et que vous ne baissiez pas les bras.
• les moins : cela peut vite partir en sucette avec les personnes de votre groupe, attention. Et enfin, une fois qu’on a fait une Escape Room, cela que peu d’intérêt de la refaire.

Une chose est sure, nous allons retourner dans un Escape Games, mission réussie pour Dooz, vous avons appréciez ce moment, et nous vous invitons à faire de même.

Les infos, les prix et la réservation : https://www.doozescape.com/

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Tu choisis ce que tu manges

Un des points forts de cette adresse, c’est que le choix des ingrédients, du pain et de la garniture des sandwichs est à ta guise, tu demandes, on exécute. Fromages, viandes ou poisson et crudités, tu fais ton choix, parmi des produits plutôt sympa exposés devant toi (il y a une vitre entre toi et les produits) et hop, ton sandwich est dans ton sachet.

L’adresse propose des menus, sandwich, boisson dessert à 8,70€, un peu moins cher si t’es étudiant, un peu plus cher si tu veux des tomates séchées dans ton sandwich.

Pour moi, ce midi là ce fut : sandwich pastrami, pesto, gorgonzolla frais et crudités, accompagné d’un jus de fraise et d’un muffin myrtille.

Donc si tu as des gouts compliqués ou que tu aimes savoir ce qui est dans ton sandwich le midi, tu connais l’adresse maintenant.

Les bémols de cette adresse : les desserts pourraient être plus chouette, et la salle un peu plus grande, histoire de pouvoir manger sur place parfois, enfin, si tu viens en plein rush pendant les périodes scolaires, faut pas être trop pressé, c’est ça aussi la rançon du succès.

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Envie de changer un peu, on se décide à passer en mode « Testeuses de bar » et on se dirige vers un nouveau bar ouvert il y a seulement deux mois : Le Douanier. Installé derrière l’ancienne douane, rue de la douane, Le Douanier est discrètement caché, à l’affut des passants.

L’adresse est tenu par des indépendants, spécialisés dans les cocktails que l’ancien barman du Raven concocte rien que pour nous.
Un mélange de saveur, toujours frais, léger et raffiné, où on ne sent pas trop l’alcool au goût, un plaisir donc, des cocktails fait avec soins, un truc de pro sous l’oeil attentif du Douanier.

Et rien de mieux pour nous accompagner qu’un service charmant et dévoué. Ibrahim ou Mam’s pour les intimes nous a raconté avec chaleur l’histoire du Douanier…

Les cocktails c’est le barman qui les crée, mais pas que. Il y en a d’autres, ceux qui viennent de l’étranger qui ont été spécialement conçu par les amis barmen du monde entier du tenancier. Une carte de cocktail invitant au voyage donc.

Ici tout est fait par des amis, l’identité graphique c’est un pote qui l’a imaginé, et la déco, les deux copains architectes accoudés au bar.

Et dès qu’on passe le pas de la porte, on a le sentiment d’entrer dans un tableau du Douanier Rousseau, on devient presque un des potes qui font l’aventure du tenancier, et cet accueil, bah ça change d’autres bistrots de Strasbourg.

Alors, que ça soit pour une soirée entre fille, pour un rdv galant ou pour boire des Mojitos entre mecs, n’hésitez pas à partir à l’aventure en poussant la porte du 5 de la rue de la Douane, vous ne serez pas déçu !

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Je vous passe les remarques de l’amoureuse sur mes différentes expérimentations coiffuresques, jusqu’au jour ou sortant de l’un d’entre eux, elle a déclaré fièrement : « la t’es trop beau, tu changes plus de coiffeuse »

C’est un pote qui m’a parlé du salon SIDI MEN, je me suis dit, après tout, je peux en tester un de plus, et bien, je dois l’avouer c’était la fin de mes tests, sans même le savoir.

Le barbier idéal ça ressemble plutôt à ça dans la tête des gens. « Un rdv pour 14H, pas de soucis, au fait, on a un parking à fixie ! »

Les barbiers il faut l’avouer, c’est souvent des mecs, grand, baraque, avec une barbe jusque par-terre, et d’une longueur qu’un civil ne pourra jamais atteindre. Quand toi tu arrives avec ta petite barbe qui a mis 3 mois à pousser, ta bidoche de trentenaire, tu te sens con, alors que pour une fois, chez SIDI MEN, c’est toujours toi qui a la plus longue … moustache (… coquin va!).

Et pour cause, loin du stéréotype Un homme coiffe mieux un homme qu’une femme, chez SIDI MEN, qui est un salon de beauté pour hommes, il n’y a que des femmes.

Sidi Men – Salon de beauté à Strasbourg – DR

Le salon a été ouvert par Samia et sa soeur Kamila il y a presque deux ans maintenant, et sans le savoir, j’étais dans les premiers clients, depuis c’est avec plaisir que je reviens, assez fréquemment me faire tailler la barbe et coiffer autour d’un café dans le salon. Il faut dire que la technique est au rendez-vous et la coupe impeccable à chaque fois, Kamila est l’une des seules femmes diplômées Barbière de Strasbourg et sans doute du grand Est.

Sidi Men – Barbière à Strasbourg

Le salon est à lui seul un concept unique, il s’agit d’un espace uniquement dédié aux hommes, avec à la carte des soins du corps, des massages et des prestations de coiffure, le tout dans un décor design, entre béton ciré et fauteuil en cuir dans les couleurs du salon rouge et noir.

Sidi Men – Salon de beauté à Strasbourg

Les posters d’Elvis et ceux d’autres modèles hommes de la marque de produit de beauté American Crew pourront vous donner de l’inspiration dans la coupe et si ce n’est pas le cas, Kamila est d’excellents conseils. Personnellement je ne sais jamais quoi répondre à la question bidon que pose tout les coiffeurs :  » Alors, on fait quoi aujourd’hui ? » et fort heureusement, Kamila ne m’a jamais posé la question.

Ce que je n’ai pas encore testé mais que propose le salon, c’est également un ensemble de prestations de soin :

• Un espace soin du visage et épilation,
• Un espace beauté des pieds et des mains.

En conclusion, nous vous invitons à faire le test du salon, et pour les nanas qui ont lu jusque là, croyez bien que l’amoureuse valide à 200% ce choix de coiffeuse/barbière et c’est encore ça qui compte le plus

Alors si t’es un mec, et même si tu as pas (encore) de barbe, vazy teste, et si tu dis que tu viens de notre part tu auras surement un chocolat avec ton café, et si tu es une nana, dis à ton amoureux de tester ce salon ! (on décline tout risque d’augmentation du budget coiffure de Mr).

Plus d’infos, des tarifs et pour réserver ton rdv :

https://www.facebook.com/SIDIMEN67/

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Le troquet des Kneckes, bar franco-alsacien de la Grand’rue deux ans après l’ouverture, c’est mieux qu’à ses débuts. On vous explique pourquoi

Toujours la même carte, la même ambiance quoique plus feutrée, les mêmes tartes flambées, la même botte de radis (ma préférée), les mêmes jeux, les mêmes rencontres Tinder reconnaissables entre mille, la même table où nous nous sommes rencontrés… mais plus d’habitués maintenant qu’il a fait ses preuves.

Un retour chez nous finalement qui nous fait du bien.

Le petit plus ? Après deux ans, le bar s’est professionnalisé, les serveurs et barmen sont de vrais pros, à l’écoute, le conseil facile, disponibles et très aimables, pas stressés pour un sou et c’est justement ce qu’on aime.

Le Kneckes fait partie de ces bars branchouilles qu’on aime tant découvrir à Strasbourg. Devenu par la force des choses, vu le nombre d’ouvertures dans la ville, un peu moins branchouille justement, il est toujours aussi agréable et mériterait qu’on y revienne plus souvent.

Alors qu’en dites-vous ? Une redécouverte de ce troquet, ça vous dit ?

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 Les bonnes adresses où on est sur de trouver (au moins) un vinyle qui nous plait

Tout d’abord, il y a l’irréductible FNAC qui offre une diversité de genres plutôt satisfaisants. Mais il y en a d’autres encore.
L’occase de l’oncle Tom qui est bien fournie elle aussi, le seul point quelque peu négatif c’est leur accueil, pas toujours très amical, en revanche ils sont plus qu’au courant de ce qu’ils ont et savent parfaitement bien vous renseigner.

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